作者: Jean-Pierre Mignot , Félix Marie Affa'a , Inacio Domingos Da Silva Neto , Bernard Vigues
DOI: 10.1016/S0003-5017(98)80051-2
关键词:
摘要: Resume Selon leur degre d'evolution, les opalines possedent, a l'etat trophique, de deux un tres grand nombre noyaux tous genetiquement identiques. Ce ne sont donc pas des protistes typiques mais syncitiums plus ou moins complexes. Elles se reproduisent selon cycle passant par une phase sexuee calquee sur celle l'hote. Au moment la gametogenese, cellules continuent diviser alors que divisions nucleaires inhibees. deviennent en petites, aboutissant gametes uninuclees. Apres fecondation, nouveaux trophontes grandissent et multiplient leurs sans que, pendant certain temps, divisent. acquierent ainsi etat syncitial qui n'est rappeler premiers stades du developpement l'œuf drosophile. Comme il est suivi d'une migration corticale precede cellularisation met jeu certains composants cytosquelette, on peut demander si, chez opalines, liaisons cytosquelettiques entre cortex aussi cibles mecanisme couplant caryocinese cytocinese capable repondre signal externe. Les donnees resultant etude comparee especes multiples semblent conforter cette hypothese. Une deficience retard dans ce couplage pourraient conduire formation d'un syncitium. Alors, etre considerees comme tentative realisation d'etres pluricellulaires.