L’endémie des helminthiases en Afrique subsaharienne peut-elle expliquer à elle seule la très faible prévalence des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin? Impacts sur la santé publique

摘要: La prevalence des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) est tres faible en Afrique subsaharienne par rapport a celle pays industrialises et n’est pas due facteurs genetiques, d’apres les etudes epidemiologiques. Parmi l’environnement dans industrialises, l’hypothese d’une hygiene plus stricte l’enfance avec reduction infections courantes disparition helminthes intestinaux ete proposee. Les helminthes, endemiques subsaharienne, quasi disparus modifient l’homeostasie immunologique intestinale, induisant au niveau T lymphocytes auxiliaires naifs (Th0) une polarisation Th2 inhibant la Th1 Th17, ainsi qu’une formation regulateurs. Comme MICI resulteraient reaction excessive vis-a-vis bacteries intestinales, immunotolerance accrue serait benefique pour leur traitement. Bien que previennent ou attenuent colites experimentales, premiers essais therapeutiques ingestion d’oeufs Trichuris suis, non pathogene, aient donne resultats positifs MICI, l’hygiene ne peut actuellement etre ni prouvee rejetee. Par ailleurs, l’endemie helminthique prejudiciable sante populations d’Afrique subsaharienne. Quant son influence nefaste sur (tuberculose, virus l’immunodeficience humaine, etc.), il n’y encore assez d’etudes randomisees controlees (ERCs) le demontrer, mais elle diminue l’efficacite certains vaccins. L’eradication masse doit donc poursuivie. l’helminthotherapie d’ERCs sont necessaires confirmer efficacite exclure effets secondaires nefastes long terme. Des molecules derivees proprietes immunomodulatrices cours d’evaluation.